Gatineau Workshop August 2013
Les Grands & Petits Secrets du Monde des Galeries d’Art (Arts Visuels)
En collaboration avec Le Festival de l’Outaouais Emergents.Pour participer, contactez: http://www.festfoe.com/2013/le-festival/formation-aux-artistes-du-festival-de-l-outaouais-emergent/
La vision de Guy Bérubé pour La Petite Mort est véritablement – et peut-être étonnamment, étant donnée le nom de la galerie – une vision de l’éthique sociale. Il voit la lutte de l’artiste avec la conscience de soi à travers l’art visuel reflété sur le spectateur non comme bénéficiaire passif, mais en tant que participant actif dans son œuvre créatif. Une fonctionnalité de signature de la LPM est le sentiment de malaise la plupart des œuvres d’arts évoquent, qui, comme c’est le but de l’art subversif, reflète les projections personnelles du spectateur sur lui-même.Ce malaise est une part nécessaire pour l’esthétique et la sensibilité éthique de Bérubé. Il reconnaît le rôle de l’art dans l’aliénation et dans la transformation critique, pour le progrès culturel généralement provoqué par les idées invoquées par les limites de nos communautés. Les artistes de LPM représentent des sujets en marge de la société urbaine contemporaine canadienne – le sublime ainsi que les sans-abri et les schizophréniques – ne sont pas différent que l’art le plus courant depuis la période post Renaissance. Nous ne sommes pas ici pour choquer ni pour divertir, par contre, M. Bérubé comme propriétaire, directeur et curateur de la galerie LPM, est ici pour fournir un forum inclusif pour les artistes canadiens(iennes) d’aujourd’hui, incluant ceux et celles qui sont habituellement mis à l’écart par la société en général et ceux et celles qui sont tout simplement incapables de fonctionner normalement au sein de la société.